La destruction de l’ancien palais des congrès devait se terminer en 2025 ©VilledeNice
Depuis 2020, le sujet de la destruction d’Acropolis divise les Niçois. En effet, le plan de prolongement de la Promenade du Paillon, porté par Christian Estrosi, ne plaît pas à tout le monde. Depuis l’annonce du projet, plusieurs rassemblements ont été organisés par des militants de divers bords politique. L’objectif, qui était de faire pression pour éviter la démolition de l’ancien palais des congrès, n’a pas abouti. Construit en 1980, il lui est reproché de rejeter 1 700 tonnes de CO2 par an et d’être. À la place, le projet prévoit de planter 1 500 arbres, qui permettront la captation de 50 tonnes de CO2 par an.
Alors que les travaux de destruction d’Acropolis ont commencé le 1er mars, le Collectif Associatif Pour des Réalisations Écologiques des Alpes-Maritimes a déposé un référé liberté au tribunal administratif de Nice. Ce dernier avait pour but de suspendre les travaux de démolition du bâtiment, le temps de savoir si des chauves-souris n’étaient pas présentes à l’intérieur de l’enceinte de 300 mètres de long. Ce jeudi 27 avril, le tribunal administratif a rejeté le référé liberté déposé par le CARPE 06.