Silence ! Ça tourne à Nice ©Alex_star
En 2022, le domaine public niçois a été le théâtre de 328 jours de tournage : ce sont plus de 20 shootings photos, 7 courts-métrages, 23 documentaires, 8 films corporate, 11 formats numériques (web série, plateformes vidéo, sites internet), 13 clips vidéo, 4 séries télévisées, 9 publicités, 15 émissions télévisées, 3 longs-métrages qui été ont tournés à la cité azuréenne.
Les studios de la Victorine, eux ont accueilli 3 longs-métrages : « Etoile filante » (franco-belge) du duo Abel & Gordon, « The Substance » (anglo-américain) réalisé par Coralie Fargeat avec Margaret Qualley et Demi Moore produit par A Good Story et « Un coup de dés n’abolira jamais le hasard » (français) réalisé par Yvan Attal avec Guillaume Canet et Maïwenn, produit par Curiosa Films. 6 tournages de séries télé et téléfilms dont « Tikkoun » pour Canal +, « Ouija » pour Netflix ,« Comme Mon fils » pour TF1 produit par Radar Films avec Tomer Sisley, un téléfilm pour la chaîne américaine HBOMax « Julia », Produit par Peninsula, « Alphonse » réalisé par Nicolas Bedos avec Jean Dujardin et Charlotte Gainsbourg et enfin « Meurtre à Valbonne » produit par Alef One. Mais aussi : 15 films publicitaires, 3 films d’entreprises, 4 clips musicaux et 5 shootings photo
Au total, la Victorine a accueilli 94 productions audiovisuelles, dont 36 qui ont utilisé les plateaux.
« Cet héritage cinématographique et culturel se poursuit, l’histoire du 7ème art continue de s’écrire dans nos rues et dans nos studios. Qu’il s’agisse de productions étrangères ou françaises, Nice continue d’inspirer aux quatre coins du monde et de créer une multitude d’émotions. Notre passé cinématographique mais aussi notre présent et notre futur sont une des raisons pour lesquelles Nice ambitionne d’être Capitale Européenne de la Culture en 2028 ; un formidable booster pour faire naître de nouveaux projets artistiques notamment cinématographiques ».
Maire de Nice
De plus, dans le cadre de sa politique de développement de la filière cinématographique et audiovisuelle et de l’accueil des tournages, la Ville de Nice propose depuis 2011 une aide financière aux sociétés de productions. Ce soutien permet à des projets dont le scénario, le casting ou les lieux de tournage contribuent à la mise en valeur du territoire et à son rayonnement artistique et culturel dans le monde.
En 2022, la Ville de Nice a apporté son soutien à :
➤ 2 longs métrages : « Diamant brut » d’Agathe Riedinger et Yaël Langmann (Silex films) et « Tonie » de Marielle Gautier-Loreti (Artisans du film),
➤ 2 documentaires TV : « Riviera (s) : l’invention de la Côte d’Azur » de Stéphane Benhamou (Siècle production) et « Nathalie Baye, sa vie américaine » de Camille Hamet et Séréna Robin (Day for night production)
➤ 1 série télé : « La Peste » de Gilles Taurand et Georges-Marc Benamou (Siècle production).
Depuis sa création, l’aide a été attribuée à 8 longs métrages : « Espèces Menacées » de Gilles Bourdos, « De toutes nos forces » de Nils Tavernier, « L’Homme qu’on aimait trop » d’André Téchiné, « Papa Lumière » d’Ada Loueilh, « Brice 3 » de James Huth, « Brillantissime » de Michèle Laroque, « J’ai perdu Albert » de Didier van Cauwelart, « Rêves de jeunesse » d’Alain Raoust. Ce dispositif a permis des retombées économiques importantes avec près de 160 jours de tournage.
